Cinéma, l'arme de manipulation absolu ?

I - L'industrie du cinéma

Culture & Histoire
Moyen & Évolution
Fondation et Organisation

II - Les films et le pouvoir sur le cerveau

Émotion et ressenti sur le corps
Le pouvoir de films sur l'inconscient.
Le cerveau filtre les données

III - Les manipulations et organisation autour du cinéma

Holywood
CIA, Holywood
Finance et investisseur

IV - Les films ont-ils un impact sur notre perception du monde ?

Cinéma, vecteur culturel
Les films nous conditionnent-ils ?

Ouverture (on découvre le documentaire avec un début de la troisième partie, cela donne le ton et l'accroche global)

Et si les films étaient un moyen de guider, mais également de conditionner ?

À mon sens, les films délivrent certains messages profonds et peuvent-être utilisés pour montrer, sous un angle de vue différents, certaines vérités.

Nous sommes en droit de se demander si les films ne permettent pas de

Pause et roll back (mauvais endroit)

Réalisons-nous vraiment le formidable impact de la culture cinématographique sur nos vies ? Réalisons-nous à quel point notre mode de vie est profondément influencé par notre éducation, par notre environnement, par notre système de valeurs et de croyances ?

Pause et roll back (Extrait de films, moyens d'aujourd'hui, behind the scene)
Écran noir, logo, intro

Au travers de ce documentaire nous allons découvrir l'impact des films sur le comportement humain et le pouvoir d'influence des masses de l'industrie du cinéma. C'est un sujet vaste et complexe qui nécessite d'avoir une vue d'ensemble. Pour cela Il faut connecter les points, rapporter les pièces du puzzle pour avoir une compréhension globale. Nous allons suivre le fil d'ariane qui va nous amener à nous questionner sur des idées que nous aurions préféré occulté.

I - L'industrie du cinéma

Le cinéma - cette industrie colossal pèse aujourd'hui près de 97 milliards de dollars dans le monde. Le cinéma est un vecteur culturel qui traverse le temps.

En 1895, les frères lumière inventèrent le cinématographe, à la fois caméra de prise de vues et projecteur de cinéma. XX. On considère que le cinéma est né lors de la première projection publique au Café de Paris le 28 décembre 1895.

Ce fut une invention spectaculaire qui révolutionna le monde.

Quelques siècles plus tard, les films sont un moyen de divertissement particulièrement répandu et apprécié. En 2019, la fréquentation des salles à été record - avec 213 millions de spectateurs, soit l'une des meilleures années depuis 50 ans. Pendant le confinement national suite au COVID-19 les cinémas et salles de projections sont restés fermés. Selon une étude réalisée par Vertigo Research, 52% des français souhaitait rapidement retourner au cinéma une fois le confinement levé.

Le cinéma est donc un média fortement apprécié et en constante croissance. Une grande partie de la population mondiale a déjà vu au moins un film dans sa vie. Que ce soit dans un cinéma ou à la télévision, le 7ème art est un média universel sans limite, accessible au plus grand nombre ; Au delà même de l'âge, de la nationalité et des frontières.

II - Les films et le pouvoir sur le cerveau

A - Émotions des films et effets des écrans sur le corps

Les moyens techniques et technologiques dans ce milieu ont très vite évolué pour apporter aux téléspectateurs une expérience immersive et sensationnel. Les films ont cette capacité de nous faire voyager, de nous transporter et de nous faire vivre - sans bouger - un panel complet d'émotions. Lorsque nous sommes vraiment plongés dans l'histoire, le monde autour de nous n'existe plus, seul le contexte et l'histoire du film prennent place. C'est ce qu'on aime dans le cinéma, ils nous touchent, nous marquent, nous font sourire ou pleurer...

De nos jours XX% des films sont visionné sur la télévision. C'est x1 plus qu'en salle. Présente chez 98% des Français, la télévision est l'objet de divertissement absolue. Film mais aussi séries, émissions et publicité. La programmation est varié.

Selon de récentes études, la télévision suscite un comportement passif quel que soit le programme. Regarder cette lucarne bleutée induit un état hypnotique caractéristiques d’un état inactif et léthargique. Elle met en sommeil l’intellect, ramollit physiquement, et contrairement à ce que l’on pense communément, ne repose pas du tout.

Ce concept est globalement identique pour tout les écrans et pas seulement la télévision. Ce n’est pas le contenu mais bien le dispositif, le défilement d’images animées sur un écran brillant, qui est responsable de cet état.

Les écrans aliènent et coupe systématiquement l’individu de sa pensée. Le téléspectateur perd son pouvoir personnel de réflexion. Nous entrons alors dans un état de grande réceptivité et nous devenons influençable aux circonstance extérieures.

B - Le pouvoir des films sur l'inconscient.

X - Le cerveau filtre les données (Réceptivité & Pouvoir du subliminal)

Lorsque nous entrons dans un état de réceptivité nous sommes plus à même d'ingurgité de l'information sans que celle-ci soit filtré consciemment.

C'est sur ce principe que les messages subliminaux fonctionne, le cerveau capte et stocke de l'information à laquelle nous ne sommes pas en mesure d'accéder consciemment. Nous ne savons pas que nous avons capté de l'information mais le cerveau l'a perçu, enregistré et stocké. Simplement ils ne nous avertit pas de cette action et décide de filtrer l'information qui nous ai consciemment accessible.

Le cerveau filtre XX% des informations que nos sens perçoivent. En réalité il perçoit à travers nos sens, un lot d'informations considérable qu'il prend à charge de filtrer, pour ne pas surcharger la partie consciente. Résultat nous ne percevons pas la réalité tel quel est, mais tel que notre cerveau nous laisse la percevoir.

Ce processus est simple à imaginer avec un ordinateur. Un ordinateur affiche des informations sur l'écran, l'affichage est focalisé sur l'essentiel afin de rendre la navigation intuitive et plaisante. Pourtant l'ordinateur réalise des milliers d'actions à la secondes. Si nous venions à afficher toutes les actions réalisé notre affichage serait illisible et brouillé d'informations. L'affichage reste donc limité dans un but d'efficacité, et notre cerveau fonctionne sur ce même principe.

Si notre cerveau capte de l'information dont nous n'avons pas conscience. Est-ce qu'il peut capter des informations subtils qui alimente un conditionnent ?

Y - L'inconscient et les films

Réalisons une expérience, prenez quelques instants pour visualiser toutes les fenêtres présente dans votre lieu de vie.

Lorsqu'on pratique cet exercice ce que nous visualisons est affiché et perçu sur notre écran mental. On appel ça une projection mentale.

Lorsque nous pensons c'est ce même processus qui est utilisé. Dans ce cas précis nous sommes à l'origine de la pensée et donc de l'image que nous projetons dans notre esprit.

Lorsque nous regardons la télévision le cerveau ne fait aucune distinction entre l'image projeté et l'image perçu. La télévision fait tomber le sentiment d'extériorité des scènes regardées, les images perçus sont alors ingérés par notre esprit comme si elle était une extension du cerveau, de la même manière que si nous les avions imaginé sur notre écran mental.

C'est comme si

Le message passe, en colonisant notre pensée parce qu'il est de même nature que notre imaginaire. La différence étant que ce n'est plus notre inconscient qui produit les images mais qu'elles proviennent d'un univers extérieur qui colonise notre esprit comme un cheval de Troie.

Nous sommes alors pollués d'informations que nous ne contrôlons pas. Des informations qui pourrait dans certains car nous conditionner à accepter l'autorité, une tendance, implanter des idées comme la propagande pourrait le faire.

Est-ce qu'une oeuvre cinématographique ne pourrait-elle pas permettre de conditionner un mouvement de pensé ?

Est-ce que l'immense industrie du cinéma pourrait utiliser des leviers psychologique pour conditionner et manipuler une génération ? Les films peuvent-ils conditionner et impacter notre perception du monde ?

Si les films sont autant vu et apprécié dans le monde, est-ce que des firmes pourrait utiliser ce média à des fins de conditionnement ?

C - Les films ont-ils un impact sur notre perception du monde ?

X - L'impact des oeuvres audiovisuelles sur les enfants

Que ce soit par goût de l'image ou pour se divertir, le cinéma et les créations audiovisuelle polluent notre esprit dès le plus jeune âge. Films, dessins animés, programme télévisé. Que ce soit pour divertir ou pour occuper l'enfant, cette habitude est courante dans bon nombre de foyer autour du monde.

Dans les premières années de notre vie, notre être se construit par rapport aux regards que l'ont porte sur le monde qui nous entoure.

Tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons, film y compris sont digéré et stocké dans notre inconscient.

Considérons l'inconscient comme une boite noir dans laquelle tout ce sur quoi ont se construit y est stocké. Traits de caractère, passions, envies, croyances et peurs...

Si une partie de ma vie est déterminé par mon inconscient, est-ce que regarder des oeuvres audiovisuelle pourrait pollué ma partie inconsciente et conditionner la personne futur que je vais devenir ?

Recommençons - Faisons un test.

Nous avons deux enfants de 5 ans le premier à gauche s'appel London, le second à droite s'appel Bilbao. Ne pensez-vous pas qu'il y auras une net différence de comportement entre un enfant qui regarde des films inadapté et un. Fivel, Yeti, Coco ou Abominable ne va t'elle pas avoir plus de confiance, une quête d'aventure, et de liberté ? Ne va t'elle pas être amené à développer plus de capacité de réflexion et d'analyse ?

Les films que nous regardons et ce à n'importe quel âge, modifie le prisme de notre perception du monde. Ils détermine qui nous sommes, ce que nous pensons, et même notre intelligence à travers notre mode de fonctionnement intérieure.

Ils forgent notre vision, notre caractère, nos croyances et peuvent nous conditionner à percevoir le monde différemment de ce qu'il est réellement - avec une vision limité et biaisé. Comme les différentes couches d'un oignon qui nous sépare du noyau - Ces croyances forme un filtre, nous éloignant de la vision pure en déformant la perception de notre réalité. Comme si vous regardiez le monde à travers le trou d'une serrure.

Évidemment, les films ne sont pas les seuls facteurs, et il y a des milliers de paramètres. Il ne faut tout de même pas ignoré l'impact majeur que peuvent avoir les films sur un être humain.

Dis moi les films que tu as vu je te dirais qui tu es...

Sommes-nous sûrs que nous ne sommes pas devenu la personne que nous sommes ? Sommes-nous surs que les films, les dessins animés et tout ce que nous avons vu n'ont pas eu un impact majeur dans la construction de la personne que nous sommes devenu ? Nos peurs ne proviennent-elles pas de films que nous avons vu que ce soit étant enfant ou à l'âge adulte ?

J'ai l'intime conviction que nous passons une grande partie de notre vie à vouloir combler des blessures émotionnel ressenti de la période prénatal aux alentours de notre 7 ème anniversaire.

Et si nous essayons de combler un choc émotionnel qui à été créer lors du visionage d'un film ?

(Extraits de pubs et télévision française)

Avec tout ceci, on est en droit de se demander si toutes ces heures passé devant l'écran à regarder séries et films ne conditionner pas notre vie.

Et oui, non seulement cela retiens l'attention, mais il est possible que cela conditionne notre vision du monde.

Y - L'inconscient et les films

Est-ce que les films et les séries ne serait pas l'outils parfait pour manipuler, conditionner un peuple tout entier ? Et si les moyens mis en place pour .... Ce serait alors une arme absolu de contrôle mental ?

Preuve document CIA

Le cinéma est un cheval de troie pour notre esprit. Sous couvert d'être de la sicnece-fiction il peut coloniser notre esprit pour nous implanter des idées dont nous ne sommes pas à l'origine. De par l'utilisation de technique ou d'un ensemble de moyen permettant de transmettre une idée. (subliminal)

Le cinéma sous drapeau d'être de la science-fiction, permet d'annoncer certaines vérités, de conditionner une génération ou de préparer en amont une transition sociale sans que personne ne puisse le croire, puisque c'est de la science-fiction, et donc, du cinéma. En d'autre termes, ce n'est pas plausible.

S'il permet de préparer une nation à une transition, ou à la découverte d'une nouvelle technologie, il permet également de divulguer certains messages ou de conditionner les esprits.

Communauté LGBT, Sexualité,

Je n'ai rien à dire sur la communauté LGBT, cependant nous sommes en droit de nous demander si de tels oeuvre ne conditionne pas l'esprit à accepter ce genre. , pronant pour la plupart le libertinage et. Rendre normal quelque chose qui ne l'est pas.

Oeuvre films série > support

Parenthèse : je précise que je Chaque termes ayant une croyances et un niveau de conscience propre à chacun, dites vous bien que j'utilise mes propres termes associé à mon système de croyance. Pour vous ce sera peut être différent. Exemple : le mot Divin va représenter pour moi, ce qui est derrière la création. La matrice divine qui compose tout les êtres et le monde. Pour vous ça pourrait représenter l'énergie universelle. Et pour un autre simplement representer Jésus Christ, lié à sa croyance en la religion. On comprend alors que chaque termes chaque mots est propre à chacun puisque c'est lié à sa croyance et donc à sa perception. Comme si chaque mot avais différentes strates et que le niveau de conscience détermine quels strates nous voyons.

c'est un média universel

Vecteur d’influence culturelle

cinéma conditionnement culturel

Plan Marshall

Le volet culturel du Plan Marshall, utilisant particulièrement le cinéma, fut un vecteur de diffusion de la culture et des valeurs américaines en Europe dont le but avoué était de détourner les Européens de toute tentation marxiste et de leur faire mieux accepter la domination économique qui résultait du volet économique du Plan et des accords de Bretton-Woods. Westerns, films de guerre ou films présentant la société américaine sous son meilleur jour aident les spectateurs européens à adhérer au modèle américain et à consommer les produits venus d’outre-Atlantique.

A cet égard les accords Blum-Byrnes sont révélateurs de la politique américaine vis-à-vis du cinéma. Signés en 1946 entre le représentant français et le Secrétaire d’Etat américain, ils prévoient une annulation de la dette française à la condition expresse de l’ouverture quasi-totale des salles françaises aux productions cinématographiques américaines. Face à cette industrie cinématographique puissante, rodée à la promotion du modèle américain depuis qu’elle a du se réorienter à partir de 1941 vers des films de quasi-propagande, la France ne put qu’assister au délitement progressif de son cinéma « de divertissement » face à la vague américaine. La création du centre national de la cinématographie y changea finalement peu de choses et il faudra attendre les années 60 pour revoir un cinéma français « populaire » se re-lancer à la conquête de sa propre population. Toutefois l’objectif poursuivi par les Etats-Unis était atteint, l’Amérique était devenue dans l’imagerie populaire un eldorado vers lequel la société française devait tendre ; en témoigne la « voiture américaine » signe éminent de réussite dans la France des années 40-60.

L’influence cinématographique est plus ancienne ; avant la guerre déjà Joseph Goebbels avait compris tout le parti qu’il pouvait tirer de ce déjà immensément populaire média. Des films comme Le triomphe de la volonté ou Les dieux du stade étaient, dès les années 30, des parangons de propagande. Toutefois c’est en URSS avec S. M. Eisenstein que l’influence culturelle via le cinéma allait connaitre ses premières grandes heures. Immense réalisateur, versé lui aussi dans la propagande avec des œuvres comme Alexandre Nevski ou Le cuirassé Potemkine, il sut évoluer vers un cinéma plus porté vers l’influence à travers la dénonciation des vices du pouvoir. Cette œuvre, Ivan le terrible est paradoxalement celle qui lui vaudra les foudres d’un Staline qui se reconnaissait trop dans le personnage éponyme présenté dans la seconde partie comme un tyran sanguinaire.