Note #1
"Dans la vie, si tu fais face à un choix et que tu n’as pas un grand OUI, c'est que la réponse est forcément non."
Note #2
Si tu es anxieux, que tu cherches un sens à ta vie, bienvenue. Tu es un humain du 21e siècle qui vit ce que tout le monde ne dit pas.
Note #3
"La vraie bonne décision pour soi n'est pas toujours la plus agréable, la plus simple, ni la plus facile à prendre. Mais il faut parfois accepter d’aller contre soi, son ressenti, son envie - pour aller vers ce qui est vraiment le mieux pour nous."
Note #4
Comment prendre de meilleures décisions ?
Prochainement, si tu fais face à une décision importante, demande-toi 3 choses :
- Seras-tu vraiment fier d’avoir pris cette décision dans 10 heures, 10 semaines et 10 ans ?
- Est-ce ce que tu conseillerais à ton meilleur ami ?
- Si la réponse n’est pas un grand OUI immédiat et évident, que tu n’es pas enthousiaste, c’est que la réponse est forcément non.
Note #5
Ce qui compte c’est d’être heureux, pas de penser à l’être. Si tu y penses, c’est que tu ne l’es pas. Quand tu l’es vraiment, tu n’y penses plus.
Note #6
Le bonheur est un état d'être qui se vit dans le présent. Si tu essayes de savoir si tu es heureux, tu sors immédiatement de cet état. Lorsque tu es profondément présent, tu n’as plus besoin de t'interroger à ce sujet.
Note #7
Être conscient d'un problème, c’est avoir le problème. Tant que tu y penses, c’est qu’il est toujours là. Tu le dépasses vraiment quand tu n’en as plus conscience, qu’il ne revient plus à l’esprit, et que tu es simplement passé à autre chose.
Note #8
"On est toujours à une rencontre de changer le monde. Ce n'est peut-être pas nous qui le changerons, mais nous pouvons être des messagers pour ceux qui le feront."
Note #9
Si tu es dans une relation et que tu te demandes si tu es amoureux, c’est que tu connais la réponse. L’amour est fluide, simple, il coule de source. S’il y a réflexion, c’est qu’il y a des doutes, et s’il y a des doutes… il n’y a plus de doutes.
Note #10
Il y a une grande différence entre ce que nous voulons et ce dont nous avons réellement besoin. Trop souvent, nous désirons des choses qui ne sont pas ce que nous devrions avoir. Qu’est-ce que je veux en ce moment qui n’est pas vraiment fait pour moi ?
Note #11
Ce qui compte c’est de guérir, pas de penser à guérir. Il ne faut pas s’accrocher à ses blessures, il faut les laisser s’envoler. Une blessure disparaît vraiment quand on ne s’en rappelle plus.
Note #12
La quête de ma vie c’est d’apprendre à être soi; d'oser être. C'est une démarche intérieure. On doit revenir en arrière, revenir à l’origine, pour se désidentifier de nos croyances, de notre conditionnement et de notre masque social afin de retrouver qui on est vraiment.
Note #13
Nous avons tous des problèmes, des blessures, des névroses...
Certains travaillent dessus, d'autres passent au niveau suivant. S'il y a bien une chose que j'ai comprise, c'est que :
- Nous n’avons pas besoin de penser consciemment aux problèmes que nous devons résoudre.
- Ce qui compte, c'est de guérir, pas de penser à guérir.
- Le simple fait d'observer et d'en prendre conscience est un pas vers la guérison. Cela se fait naturellement à un niveau inconscient.
- Être conscient d'un problème, c'est avoir le problème. Il disparaît le jour où nous n'y pensons plus.
Note #14
Si j’ai une opportunité mais que je manque d’une compétence, j’ai appris avec le temps à dire oui immédiatement, comme si je l’avais toujours su, et d’apprendre sur le tas.
Note #15
La difficulté n’est pas d’oser être soi aux yeux du monde extérieur, mais d’accepter en soi, qui on est vraiment. La plus grande violence qui soit vient de notre jugement intérieur. On est souvent les jardiniers de nos plus belles épines.
Note #16
Nos pensées et notre monde intérieur sont en résonance immédiate avec le monde extérieur. Si on est attentif, on peut voir à chaque instant des signes immédiats de notre co-création (une étoile filante, un papillon, un mot entendu, une rencontre, une pensée, etc.). Plus on est conscient et donc attentif à l’instantanéité, plus on perçoit ces synchronicités dans notre vie.
Note #17
Le monde intérieur, c’est l’ensemble de nos pensées, désirs, pulsions, schémas, doutes, émotions. C’est notre boîte noire. Ce qui nous compose. Notre inconscient. Cette part de nous qui est à l’origine de 95% de nos pensées.
Note #18
Je ne réagis qu’aux choses que je n’ai pas intégrées. Si je me sens visé, c’est que ça fait écho avec une part de moi que j’ai du mal à accepter. Si je suis profondément aligné avec qui je suis, aucun jugement extérieur, ni personne, ne peut avoir d’impact.
Note #19
Il n'y a aucune frontière entre l'intérieur et l'extérieur.
Tout notre monde, tout ce que l’on peut voir en lui est le reflet de ce qui est en nous.
Absolument tout ce qui arrive dans notre champ de perception est, de près ou de loin, un aspect de nous-même.
Tout ce que nous vivons, chaque événement, situation ou rencontre est une invitation à se connaître.
Concrètement, si prochainement tu fais face à quelqu’un et que tu lui reconnais un gros défaut, c’est souvent un trait que tu pourras reconnaître en toi.
Désolé les homophobes.
Note #20
J’ai tendance à vouloir tout comprendre, tout analyser, tout décortiquer. Surtout avec l’introspection, je veux comprendre intellectuellement l’origine d’un problème. Mais j’ai compris que je n’ai plus besoin de comprendre. Le but c’est de guérir, pas de penser à guérir. L’esprit parle une langue que les mots ne peuvent exprimer. Les choses se résolvent d'elles-mêmes et n'ont pas besoin d'être comprises ou interprétées. Il suffit simplement de vivre, et de laisser la vie agir en nous.
Note #21
Tu es un gros connard si tu dis encore une fois 'gratitude' au lieu de 'merci’.
Les personnes qui disent gratitude au lieu de dire “Merci” auront une place réservée en enfer.
Note #22
Se fixer sur une idée précise du bonheur, d’un objectif ou même d’un idéal de relation, c’est en fait le meilleur moyen pour restreindre mon esprit à percevoir les autres opportunités d’atteindre ce but.
Note #23
Si je pouvais voir ma vie sur un écran radar, je me rendrais vite compte que je n’en perçois qu’une infime partie. Si je me concentre sur mon petit écran radar, je dirige mon attention sur une parcelle limitée de la réalité, je fais abstraction de tout ce qu’il se passe en dehors. Pourtant c’est justement en dehors de l’écran radar que la magie de la vie opère : par les coïncidences, le hasard, les rencontres et les événements. Il faut apprendre à faire confiance ; je ne suis pas en mesure de voir l’étendue, la subtilité et l’intelligence de l’univers. C’est ça la foi.
Je ne peux avoir l’intelligence et la subtilité pour comprendre et percevoir toutes les ramifications entre les rencontres, événements et situations.
Note #24
La foi, c'est embrasser l'inconnu avec confiance, se laisser porter par une main invisible, croire profondément en une force subtile qui guide ma vie, m’orientant vers ce qui est le mieux pour grandir. Le mieux, ce dont j’ai besoin, pas ce que je veux.
Note #25
Les cadeaux les plus sincères sont ceux qui sont reçus sans que l’intéressé en soit conscient.
Note #26
Si je marche en suivant les empreintes d'un autre, je ne laisserai jamais de trace. Ose créer ton propre chemin.
Note #27
La vie est cyclique, avec des hauts et des bas. Le problème, c'est que tout le monde partage les moments de haut, passant sous silence ceux de bas. Pourtant, c’est souvent ceux-là qui sont les véritables fondations de notre transformation. Je ne comprends pas pourquoi tout le monde partage quand ça va bien, mais personne n’ose dire : “Non, tu sais, en ce moment, ça ne va pas fort, je me sens anxieux, stressé."
Note #28
Le monde est une fractale. Tout ce que je fais de petit se répercute en grand. Tout ce qui est à l’intérieur se trouve à l’extérieur.
Note #29
J’aspire à être aimé pour qui je suis, mais suis-je capable de me montrer tel que je suis ? M’aimer tel que je suis ?
Note #30
"Il n’y a aucun courage sans peur."
Note #31
Normalize not forcing the connection with people; it flows or it goes. If someone doesn’t see the value, don’t try to convince them.
The biggest lesson I learned this year is to not force anything. Conversation, relationship, friendship, love. If it’s forced, it’s not worth fighting for. If it flows, it flows. If it crashes, it crashes. It is what it is. And remember, if it hurts, let it go. It’s not meant to be.
Welcome all experiences. You never know which one is going to turn everything on.
Note #32
La guérison n'est pas une question de temps, mais de lâcher-prise. Nous nous accrochons à l'idée que la guérison est un processus qui prend du temps, alors qu'en réalité, le véritable moment de transformation, celui qui libère, se produit en une fraction de seconde.
On ne guérit pas en deux ans, on guérit en un instant; mais on prend autant de temps avant de réellement lâcher prise.
Nous passons des années à attendre le moment où la guérison se produit en un instant.
Nous restons plus attachés à l’idée qu’il y a une blessure et que je devrais donc encore souffrir, qu’à la souffrance elle-même.
Note #33
Mon être intérieur est puissant, je peux collaborer et lui donner des tâches pour évoluer. C’est un partenaire silencieux, mais puissant. Parle-lui, donne-lui des tâches, dicte tes intentions, comme un ordinateur de bord. Et je suis sûr que tout le monde pourrait faire pareil.
Note #34
Je peux consciemment reprogrammer mon inconscient.
Être intérieur, guide-moi vers plus de confiance, de sérénité, d'attention. Mon but ? Me sentir merveilleusement bien et continuer à me sentir de mieux en mieux. C'est ainsi que tu reprogrammes ton inconscient.
Note #35
La vie est un miroir de mon intériorité. Tout ce que je vis est une démonstration de la manière dont je pense, vibre, mange, prie et aime.
Note #36
Le concept de fractale, c'est voir un motif/une trame se répéter à différentes échelles et percevoir la source originelle dans chaque répétition. On peut observer des fractales de l’infiniment petit à l’infiniment grand, partout autour de nous, comme une trame existante en toute chose.
Note #37
Si j’intègre vraiment le concept de fractale dans ma vie, c’est :
- Voir l'univers dans un grain de sable : comprendre que tout est lié, des galaxies à nos cellules.
- Être capable de voir la vie comme une expression de soi-même : la vie dont je fais l’expérience est un reflet de mon intériorité. Chaque action, rencontre ou expérience est une indication de ce qui se trouve en moi.
- Rien n'arrive par hasard.
Note #38
Tout ce que je pense, je l’attire. Tout ce que je refoule, je l’amplifie. Tout ce que je suis, je le vis.
Note #39
Le hasard est la main qu’utilise Dieu pour passer incognito. J’en suis pleinement convaincu, non pas par croyance, mais par expérience. Il y a un lien entre toute chose, tout est synchronicités à celui qui est ouvert à les voir.
Note #40
Si j’ai la conviction que rien n'arrive par hasard : chaque situation, habitude ou rencontre est une occasion pour mieux apprendre à se connaître. Observer ce que je vis, c’est le meilleur moyen de savoir qui je suis.
Note #41
Et si on trouve le véritable sens de sa vie dès lors qu’on se met au service des autres en respectant nos talents naturels ?
Note #42
"La vie est un écho, elle te donnera toujours raison."
Note #43
En tant qu’humain, nous ne sommes pas uniquement ce dont nous sommes conscients. Je suis la somme de ma partie consciente et de tout ce qui est inconscient chez moi. C’est une clé pour comprendre qu’il ne suffit pas de vouloir et penser pour attirer.
Note #44
Quand on me demande “comment ça va ?” je réponds “toujours vivant”. Ça fait des années que c’est comme ça. Parfois ça choque, souvent ça fait rire, mais en tout cas, ça interpelle. La question, c’est pourquoi ? Parce que cette question n’a aucun sens, on la pose comme une formalité sociale sans vraiment s’intéresser à l’état de la personne. “Salut, comment ça va ? ça va et toi ?” Jamais on entendra, “Salut, comment ça va ? Bien écoute, ça va pas fort en fait, je me sens oppressé en ce moment. Mais je travaille à aller mieux.” Toujours vivant sous-entend : je suis en vie, donc tout va bien, il y a des hauts et des bas, mais on est toujours là.
Note #45
« À chaque seconde, j’émets une onde qui est ma signature vibratoire. C’est l’amalgame de mes pensées, paroles et actions, mais aussi de ma mémoire, mon hérédité et mes croyances. Bref, c’est un cocktail dont la plupart des ingrédients nous échappent. L’événement qui se produit dans ma vie, les rencontres qui s’opèrent, sont les indicateurs les plus fiables quant à l’énergie que j’expulse. »
Note #46
"La loi d’attraction, c'est embrasser l'inconnu avec confiance et posséder ce que l'on espère avant même de l'avoir en main.”
Note #47
"Quand je me sens mal, je mets mon corps en mouvement, je marche, je vais dans la nature, je pleure, j'écris ou j'enregistre des mémos. Le mouvement est la clé.”
Note #48
Si je souhaite être libre 👉 je dois entreprendre
→ Pour sortir du schéma métro, boulot, dodo et ne plus dépendre du salariat.
Si je souhaite entreprendre 👉 je dois écouter ma part de spiritualité.
→ Pour trouver ma voie, ce que j'aime faire, ce que je dois faire, mon pourquoi.
Si je souhaite grandir spirituellement 👉 je dois me développer personnellement.
→ Pour sortir de ma zone de confort, mettre en application les changements, me confronter à des problèmes qui me feront grandir et développer de nouvelles aptitudes.
Note #49
Parfois je me sens mal et c’est ok.
Quand j’observe le monde, j’ai l’impression que tout le monde fait semblant.
Comme si tout allait bien alors qu’au fond, on est tous dans la même tempête.
Tout le monde porte un masque. On est stressé ou anxieux, dépressif ou en burnout. On pense tous trop. On est sur les écrans quasiment tout le temps. On est plein de vices, chacun le sien : alcool mondain, drogues, malbouffe, téléphone, perversion. On enchaîne les relations toxiques, la gratification immédiate…
Ou alors ce n’est que moi et je projette ça a l’extérieur alors que tout le monde vie sa meilleure vie…
Note #50
Le paradoxe de ma vie c’est que pendant très longtemps je ne voulais créer aucune vague alors que j’étais en pleine tempête.
Note #51
Nous percevons la vie selon notre prisme de perception. Et nos habitudes, nos passions peuvent avoir un impact dessus.
Un trader verra tout en fonction de sa profession.
Un beatmaker écoutera toutes les musiques en visualisant un logiciel de prod.
Un joueur d’échec verra beaucoup de situations.
Note #52
J’ai une fâcheuse tendance à me comparer. Rappelez-vous que :
- Vous vous comparez toujours qu’au reflet extérieur d’une personne.
- Cette perception est basée uniquement sur ce que l'autre renvoie (en plus d’être perçue par vos propres conditionnements et biais).
- Vous ignorez tout de son monde intérieur.
Vous ne pouvez pas vous comparer face à la perception physique d’une personne. Vous ignorez tout de son intériorité : si elle se sent bien, si elle est en bonne santé, si elle est heureuse, si elle a des névroses, ou si elle écoute du Mylène Farmer.
Il vaut mieux se sentir merveilleusement bien plutôt que de se comparer à quelqu'un qui peut donner l'illusion de se sentir bien.
Note #53
Tout est beau sur les réseaux sociaux. Il suffit d’ouvrir Instagram pour voir des gens beaux, riches, fit, intelligents, qui font des choses exceptionnelles, dans des lieux exceptionnels.
Mais il y a un problème.
C’est génial de montrer quand ça va bien.
Mais c’est tout aussi important de montrer la vérité.
En omettant de montrer l’état véritable de notre monde intérieur, on crée des individus mal dans leur peau, qui pensent être à l’origine de leurs problèmes.
La vérité de nos peurs, de nos désirs, de nos échecs. La vérité sur notre état d’égarement, de dépression, de solitude et d’anxiété.
En ne partageant que la partie acceptable, honnête et belle de nous, on participe à créer l’illusion d’un monde parfait dans lequel nous baignons dans un bonheur constant. Tout doit être réarrangé. Tout doit être acceptable aux yeux du monde. Il faut montrer qu’on est authentiques et stables. Qu’on sait où on va. Nos silences sont les fondations de cette mascarade. Tout n'a pas besoin d'être parfait pour être présentable au monde. En acceptant de montrer la réalité déroutante de nos vies, nous libérons les autres de l'illusion d'une perfection inatteignable. Être authentique, c'est aussi accepter de montrer notre chaos, nos peurs, nos doutes et notre perdition.
Note #54
« Nous voudrions être aimés tels que nous sommes, mais nous sommes incapables de nous montrer tels que nous sommes. »
Note #55
Nous aspirons à être aimés pour qui nous sommes, mais avons-nous le courage de nous aimer tels que nous sommes ?
Note #56
Lorsqu’on lance un projet, on fera automatiquement face à l'échec. C'est à ce moment que notre persévérance va nous amener à devenir des experts. Pour faire face à la difficulté que l'on rencontre, on va essayer de trouver d'autres moyens d'y arriver, on va essayer de comprendre pourquoi ça ne marche pas, on va se former, on va apprendre, on va se remettre en question. Tout ceci est le fondement de l'entrepreneur : la capacité à rebondir et à se former pour progresser. C'est ainsi qu'un solopreneur devient multidisciplinaire, ayant développé des compétences pour réussir son business.
Note #57
Un jour, alors que je me sentais vraiment mal, je me suis demandé si finalement je n’étais pas content d’être sur terre ?
Car si c’était le cas, je devais honorer la vie et la chance d’être là.
Comment l’honorer ? Par la présence.
C’est peut-être la seule chose qui vaille, être présent.
Note #58
"Les épreuves difficiles du passé peuvent se révéler être les fondements majeurs de notre avenir."
Note #59
L’alcool a une fonction sociale ultra prédominante en soirée.
Note #60
J’ai tendance à nommer les choses comme difficiles et trop dures, car c’est le meilleur moyen pour moi de me motiver.
Ce qui me motive, c’est d'affronter ce qui est dur. Prouver que je suis fort. Est-ce que c'est du sadomasochisme, de l'égo ou juste de la force mentale... entre tout ça il n'y a qu'un pas. Mais j’ai une profonde envie de m’essayer à tout ce qui est prétendu être dur, plus fort ou insurmontable. Comme si j’aimais le challenge et que le challenge me donnait vie. Que si quelque chose est facile, je n'y trouve aucun intérêt.
Note #61
Si tu ne te sens pas bien, change d’endroit. Bouge, mets-toi en mouvement. Voyage, change de chaise ou va faire du sport. Et toi Ro, pars en voyage!
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